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LSD dream emulator

Je souhaite tout d'abord vous informer que ce qui suis est un sujet particulièrement sensible. C'est par le plus grand des hasards que je suis tombé sur votre concours concernant le jeu LSD dream emulator. Je ne vais pas vous le cacher bien longtemps : j'ai des révélations dont vous allez pouvoir profiter, si j'ose m'exprimer ainsi. On dit que l'occasion fait le larrons, en France. Eh bien, je saisis l'occasion qui m'est offerte et croyez-moi, j'ai bien tourné sept fois ma langue dans ma bouche avant d'oser développer ce texte. Il faut que ça sorte. Ils essaient tous de camoufler la vérité depuis bien trop longtemps. J'entends par ce « ils », certains développeurs psycho-manipulés qui ne manqueraient pas de se reconnaître s'ils lisaient ce que je vous conte. Je ne peux pas garder tout le poids des morts sur ma conscience déjà chargée d'une vie étrange. Je vais me défausser sur vous mais avant, je dois vous avertir que le choc risque d'être particulièrement rude. Ne lisez la suite de mon histoire que si vous avez la force mentale nécessaire, je vous en conjure.

Les avertissements passés, je dois vous informer que vous n'apprendrez ni mon nom, ni mon âge, ni quoi que ce soit d'autre sur moi sauf que j'ai travaillé sur l'élaboration de ce jeu et que mon patronyme figure dans les crédits. C'est peu après avoir achevé ces crédits que j'ai pris la décision de quitter le pays. Pour la forme, je vais adopter un pseudonyme Français : Ambremort. Nous avons assez discuté, je crois qu'il est temps de rentrer dans le vif du sujet.

J'ai travaillé au sein du studio de « mercenaires » qui a développé ce titre. Je n'ai jamais vu une équipe aussi restreinte pour l'élaboration d'un jeu vidéo. Quoi qu'il en soit, Asmik Ace Entertainment a accouché d'un bébé dont la majeure partie d'entre nous se serait bien passée. À l'heure actuelle, LSD Dream emulateur passe pour une curiosité artistique et vidéoludique aux yeux du monde. Bref, tout a commencé de la manière la plus banale qui soit : un différent lors d'une petite réunion de routine. Par chance, j'étais assez haut gradé pour y participer physiquement et en présence de notre vénérable chef et de ses acolytes de bas étages. Nous devions y exposer nos différentes idées puis finalement, nous sommes tombés d'accord afin d'utiliser les rêves que l'un des notre a consigné dans un cahier depuis quelques longues années. Évidemment, on en a rajouté un peu; à l'image de l'éléphant rose et des monuments disséminés. Là où nous ne sommes pas tombés d'accord, c'est sur les cauchemars. Voyez-vous, au Japon, il existe un rite lorsque l'on réalise une œuvre culturelle liée à l'horreur. Elle est assez conséquente et je ne vais pas m'étendre sur le sujet. Tâchez de vous renseigner. En revanche, sachez que celui-ci n'a pas été pratiqué en raison d'un soi-disant « thème ». Mon honorable patron me répétait sans cesse que mon anxiété était inutile et qu'elle nuisait au travail de mes collaborateurs. Il disait aussi que l'horreur n'était pas le thème principal de ce jeu et que le rite était absolument ridicule dans ces conditions. Je vous laisse deviner ce qui suit logiquement : nous avons été maudits.

Pour la petite histoire, les développeurs de Silent Hill ont commis la même erreur et l'ont payé d'une manière amoindrie. Ils ont subi de simples poltergeists accompagnés de cris effroyables secondés par des cavalcades invisibles dans leurs bureaux. J'ai même entendu dire que certains monstres étaient le résultat de visions diaboliques lors de siestes au bureau. Quoi qu'il en soit, nous leur avons joué le rôle de précurseur.

Lorsque nous avons débuté notre travail, nous avons tous soigneusement évité de reparler de toute cette histoire. Les premiers jours, j'ai constaté des bizarreries anodines comme un café qui se renverse seul sur un clavier d'ordinateur. Un texte qui s'efface mot par mot juste devant mon nez. Un ventilateur qui fonctionne sans être branché ! Un de mes collègue s'en est aperçu en voulant utiliser une prise de courant. Nous avons été stupéfaits mais le temps de tourner la tête, les pales étaient déjà immobiles. Nous avons alors imputé, malgré nous, un tas d'événements louches à des banalités hasardeuses. Un courant d'air qui claque bruyamment une porte mais ne fait pas envoler la moindre feuille. Ce n'est pas le genre de vent qui décoiffe un cheveu sur la tête d'un chauve. Autre exemple atypique, l'explosion de la fenêtre du hall a été attribué à un gros Hashibutogarasu ( sorte de corbeau local ) un peu trop agressif. Il est vrai qu'en sortant, nous nous faisions agresser par les oiseaux de manière récurrente. La standardiste de l'immeuble à même eu le bras troué par un coup de bec mal placé. Puis les phénomènes se sont accentués peu à peu. Une nuit, les ascenseurs sont devenus complétement fous. Ils montaient puis redescendaient à leur vitesse maximale et personne n'était à leur bord. J'ai eu l'occasion de visionner les bandes de surveillance et j'ai pu y voir un veilleur de nuit débordé qui ne savait plus comment réagir face à un tel phénomène. Pourtant, lorsque les pompiers sont arrivés, tout s'est subitement calmé. On aurait pu jurer que rien ne s'était produit. Le matin même, j'ai préféré emprunter les escaliers comme bon nombre de mes collaborateurs. Mais ce que je vous dis là, ce n'est encore que de la merde par rapport à la suite des événements. Pendant les trois premiers mois, il n'y a pas eu d'agression physique directe ni de cas de possession. Nous nous sommes cantonnés à tout ce que j'ai pu vous citer ci-dessus. Je ne compte pas énumérer les petits tracas paranormaux car la suite est beaucoup plus intéressante. Nous avions franchi un pallier.

Lorsque nous abordâmes les premiers travaux sur les cauchemars, ce fut comme un déclencheur. Tous les membres de l'équipe étaient formels : une sorte de cadavre ensanglanté rôdait dans les couloirs. Nous étions tellement terrorisés qu'il nous fallait franchir les courtes distances en étant accompagnés. J'ai eu l'occasion de le voir, ce monstre. Cette horreur s'est déroulée en présence de mon ami Benkei. C'était la fin de notre journée et nous étions parmi les derniers à bosser d'arrache-pied. Nous avions pris beaucoup de retard sur notre travail. Aussi, quand nous sommes partis, nous sommes passés par les escaliers. La lueur du crépuscule peinait à éclairer les recoins malgré le vitrage à l'américaine. Le pire étant que l'éclairage ne fonctionnait plus. L'interrupteur était sorti du mur et ses fils dénudés. Je n'ai pas voulu m'attarder quelques minutes de plus dans ces bureaux de la mort. Je suis humain après tout; les autres pouvaient bien se débrouiller et ils étaient surtout assez nombreux pour assurer leurs arrières. Ne vous faites pas une mauvaise image de moi : je suis juste franc. Nous étions donc en train de descendre marche par marche quand tout à coup, Benkei hurla à la mort. Un frisson me parcourut le corps puis il ne me quitta plus. Je le voyais fixer un pan de mur situé derrière moi. Il semblait tétanisé et ne me délivra pas un mot. Pas un souffle, plus un bruit. Je pouvais lire la frayeur dans ses yeux comme dans un livre ouvert. Ses lèvres tremblaient et il ne parvenait plus à articuler. Je mis un temps infini à pivoter pour finalement ne rien percevoir qui vaille une telle réaction. J'ai pensé à une blague bien orchestrée et lorsque je me suis tourné vers mon ami, je l'ai vue. Cette entité rampante, sanglante, mi-humaine mi-animale. Benkei était paralysé. Moi, j'ai senti ma respiration se bloquer à la vue de cette monstruosité. Accrochée un mur, elle défiait les lois de la gravité. J'ai du mal, encore aujourd'hui, à trouver les mots pour vous la décrire. Cette créature arborait une chair nue particulièrement sanguinolente comme un lapin auquel on aurait retiré son pyjama de peau sans le tuer au préalable. Son dos, quant à lui, avait subi une rotation de 180 degrés. Cette horreur s'en accommodait bien pour ramper sur le mur et y apposer sa trainée sanglante comme un escargot pouvait le faire à l'aide de sa gluante bave. Son crâne était difforme, chauve et allongé jusqu'à me faire penser aux fameux aliens de Roswell. Le visage semblait identique à un crâne humain mais à la différence qu'il lui manquait la partie basse de la mâchoire, brisée puis sectionnée. D'ailleurs, cette monstruosité n'avait pas de cou; la tête placée directement entre deux épaules musclées. Son regard violacé, elle l'avait braqué dans le mien. Malgré la stupéfaction liée à cette rencontre, un digne élan de courage s'était emparé de mon corps et j'ai pu attraper Benkei par le bras pour l'obliger à dévaler les marches. C'était épique et je pense avoir pris la bonne décision. Nous avons pu nous échapper mais nous sommes restés unis. Benkei m'a invité à passer la nuit chez lui. Je me rappelle juste que sa femme et ses deux filles n'étaient pas très ouvertes sur le sujet.

À partir de ce jour, la pression monta encore d'un cran et les apparitions furent longue, quotidiennes et encore plus terrifiantes. Notre chef de projet a même été témoin de tout cela mais trop tardivement pour agir. Oui, il était trop tard ! Nous étions condamnés à achever notre travail dans ces conditions. Désormais, des visages apparaissaient un peu partout et n'importe quand. Dans du thé, dans le reflet d'une fenêtre, dans une ombre ou encore dans l’entrebâillement d'un shôji mal fermé. Pour information, un shôji est une porte coulissante Japonaise traditionnelle. Puis surtout, il y eut deux problèmes majeurs qui ont encore aggravé la situation. Jissei, un développeur, s'est donné la mort par un jumonji-giri durant le mois de juin. Le groupe entier a été moralement dévasté par cette macabre nouvelle. Il laissait une veuve à laquelle il avait destiné une lettre pour expliquer son geste. Je n'y ai jamais eu accès. Des rumeurs angoissantes circulaient sur son travail. Ce pauvre pantin aurait caché de véritables photographies de cadavres fraîchement déterrés. La seconde grosse complication se résuma au fait que les esprits ne se cantonnaient plus au bureau. Ils nous suivaient où que nous allions. Benkei me proposa d'emménager chez lui le temps que nous finissions notre travail. Sa femme et ses deux filles ne s'opposèrent pas à cette offre. Au contraire, elle en furent ravies. Il y en avait bien pour un mois au maximum. N'ayant rien à perdre et n'ayant surtout jamais trouvé la perle de rosée qui m'accompagnerait pour la vie, j'ai accepté. La solitude ne me sied guère quand la menace se fait mortelle.

Les jours suivants furent marqués par la folie de deux de nos collaborateurs. Un graphiste très peu loquace avoua avoir caché des images de meurtres et de tortures trouvées par hasard, selon lui, sur son propre ordinateur. Il a fini congédié et nous n'avons plus jamais entendu parler de lui. L'autre malade avait sauvagement agressé Kenshi, une jeune femme aux yeux pétillants et au sourire charmeur. Cette pauvre fille, ce démon la mordit profondément au bras, à la cuisse puis vers la jugulaire avant que je ne le maîtrise moi même avec l'assistance de trois collègues. Nous fûmes obligés de le faire évacuer par des forces de police en le ligotant au préalable. Ce fou furieux n'arrêtait pas de hurler qu'il allait nous dépecer vifs avec une voix rauque et dédoublée, une vraie voix d'outre-tombe. Il m'a même administré un coup de poing sur la tempe qui m'a sonné pendant quelques minutes. Durant ce laps de temps, j'ai aperçu des visages dans tous les recoins de la pièce. Ils riaient, ils s'amusaient de nous. Dès ce jour, j'ai commencé à entendre des chuchotements tout comme Benkei et les autres membres de notre équipe. Ces sons n'étaient pas ambiants, non, ils étaient enfouis dans nos têtes. Certains comprenaient des phrases puis les exécutaient. Moi, je n'ai jamais coopéré avec ça. Les phénomènes ont alors redoublé d'intensité et des nouvelles apparitions du monstre aux yeux mauves ont perturbé notre travail jusqu'à la fin. C'est là que nous en sommes arrivés aux crédits et que nous avions officiellement achevé notre tâche. J'assistais à la dernière conférence en compagnie de Benkei et de Kenshi. Nous rendîmes tous un dernier hommage à Jissei avant de voir notre chef de projet présenter le jeu au grand patron de la firme. Celui-ci, au courant de la situation, suait à grosses gouttes. Je suppose que nous nous attendions tous à un événement traumatisant car tous les regards que je croisais étaient chargés de peur et de repli sur soi-même. Je ne vais pas vous mentir, la première heure s'est admirablement bien déroulée. Pas une ombre au tableau. Nous étions subitement en confiance jusqu'à ce que nous arrivions à votre capture d'écran du marin que j'ai d'ailleurs moi-même intégré au jeu.


Il est normalement impossible d'attraper ce fantôme. Et pourtant, à ma grande surprise, c'est ce qui est arrivé. Le joueur, qui n'était d'autre que le grand patron, a touché le spectre censé disparaître mais le décor le changea pas. Dès cet instant, j'ai senti mon estomac se nouer. Les visages venaient de réapparaître dans les dalles du plafond. De petits résidus tombaient comme si nous subissions un tremblement de terre. Des éclats de voix s'élevèrent au sein de nos rangs terrorisés. Benkei grimaçait tandis qu'une main se déployait au niveau de son entre-jambe. Il se mit à hurler comme un fou lorsque je la lui fis remarquer. Le battement de ses jambes n'y changea rien, il fut attrapé et immobilisé sur sa chaise. Bientôt, Benkei ne fut plus le seul à clamer toute son horreur. Tous les autres membres de l'équipe l'imitèrent pour créer un vacarme de pleurs et supplications totalement assourdissant. J'ai bien tenté de me lever mais une force glaciale remontait le long de mon corps pour me maintenir dans la même position. Il me fut rapidement impossible de bouger la tête ou quelconque autre partie de mon corps. Je devais fixer l'écran, nul autre choix. Notre vénérable patron avait disparu. À la place, j'ai pu voir le monstre rampant croisé dans les escaliers la fois dernière. Il se tenait debout, face à l'écran géant en nous fixant tour à tour avec son monstrueux regard violacé. Un sang ocre mélangé à une salive abondante dégoulinait le long de son corps dépourvu de peau. Le montre éteignit toutes les sources de lumières excepté l'écran géant qui nous agressait littéralement les yeux. C'est à cet instant que j'ai constaté avec horreur qu'un homme avait pris la manette et jouait à la place de notre cher président. Malgré la pénombre, je parvins distinguer un profil aussi familier que désormais abominable. Il s'agissait de Jissei, notre collaborateur éventré quelques mois plus tôt dans des circonstances teintées de mystère. Comble de l'effroi, il s'agissait bel et bien de son corps en état de décomposition alors nous avions tous pu assister à son incinération. Je me rappelle encore de sa veuve éplorée, de son frère étreignant sa sœur pour la consoler ainsi que de son père se cachant le visage entre ses mains. Ces images m'ont marqué.

Quand on apprend la mort de quelqu'un, on ne s'attend pas à le revoir de sitôt. En outre, J'ai vite réalisé que le monstre passait entre les rangs pour vérifier si l'on ne fermait pas les yeux, du moins, c'est ce que j'ai préféré déduire. Le personnage principal, contrôlé par notre défunt ami Jissei, errait vraisemblablement sans but dans la cité de la peur. Pas de faucille ni de marteau mais un port puis mon marin. Cela me surpris terriblement puisque nous étions déjà passé par cette phase. L'expérience se renouvelait pour plonger plus profondément dans l'horreur. J'avais scripté et intégré notre explorateur des mers et donc, jamais je n'aurais crû cela possible. Alors qu'il était censé s'éclipser dès que le joueur fonçait sur lui, notre brave loubard était resté arrimé dans sa position initiale pour la deuxième fois consécutive. Le conséquences furent cependant différentes. Le principe du jeu étant qu'un contact suffit pour une téléportation, je vous laisse imaginer ma surprise lorsque je découvris un monde parallèle. Nous nous retrouvâmes dans une sorte de grande salle des trophées aux murs fins et sphériques. Et oui, figurez-vous que cette pièce était ronde; entièrement ronde à l'image du bureau des présidents américains dans la maison blanche. Les murs étaient également blancs. Seulement, c'était un blanc sale voire un petit gris timide et huileux. Il y avait des tâches jaunâtres et orangées impossible à identifier. La structure n'offrait pas de coins, même au plafond. Nous avions, du moins, j'avais l'impression de me trouver à l'intérieur d'une coquille d'œuf vidée puis coupée en deux et finalement posée négligemment sur une plaque de bois. Sans prévenir, un cris strident retentit. J'en rechercha l'origine avec le secret espoir de ne jamais la localiser. Mes recherches furent vaines mais bien vite, un nouveau hurlement m'aiguilla vers l'écran, ce qui fut une forme de soulagement. Le personnage principal fit des tours sur lui même de plus en plus rapidement tandis que les cris reprirent de plus belle. La vitesse maximale autorisée par le jeu fit figure de formalité. Elle continua de s'accroître encore et encore. J'en étais sûr, ces cris n'étaient pas spécifiques au jeu. Du coin de l'œil, je pu percevoir de très nombreuses formes virevolter dans la pénombre. Leur mouvement saccadé me fit penser à une tribu de morts-vivants décharnés. Je n'osa pas me concentrer sur eux mais sur l'écran où visiblement, les choses se calmaient. Les cris, bien que toujours présents, étaient devenus indépendants. Ils ne cessèrent jamais. Nous venions de franchir un cap techniquement hallucinant dans le réalisme. Impossible, pour l'époque, d'atteindre un tel degré de perfection. J'avais l'intime impression qu'il s'agissait plus d'un photo-montage que de notre jeu vidéo. Je vais vous avouer qu'au bout d'un moment, on atteint le paroxysme de l'horreur. Lorsqu'on y parvient, impossible d'aller plus loin mais impossible de l'oublier. Vous êtes marqué à vie.

J'ai longtemps hésité à vous raconter tout ça mais puisque j'y suis, autant me lancer dans cette folie. Le jeu a totalement perdu sa virtualité et je me suis retrouvé plongé dedans en tant que héros principal. Je me déplaçais à ma guise dans cette coquille. Les cris persistants étaient toujours aussi tenaces bien que réduits à une forme de bourdonnement dans mon crâne. Des images de meurtres et de tortures agrémentaient désormais cette salle autrefois vide. Je pu y voir un homme dont le haut du corps avait été dépecé puis transpercé de part en part. Il gisait dans un flot de sang bizarrement animé. A côté, il y avait une jeune femme assise sur une banquette de métro. Son corps, jambes croisées et mains sur les cuisses, n'inspirait aucune crainte. En revanche, sa tête avait été tranchée et son sang dégoulinait lentement sur le fauteuil. Cette même tête siégeait sur la banquette voisine, son visage définissait le terme horreur avec zèle. À ma grande surprise, une giclée manqua de m'asperger. L'image suivante me plongea au sein d'un carnage sanglant où des corps mutilés s'entassaient dans une poubelle anonyme d'une grande rue américaine. Ces photos n'étaient pas seulement réalistes, elles étaient réelles. Aussi, tout à coup, la coquille se brisa et laissa entrer une terrifiante lumière noire totalement indescriptible. Cette chose qui entrait mangeait littéralement la lumière à la manière d'un trou noir. Je fus subitement aspiré hors de mon corps dans un flot de sang auquel je tournais le dos. J'y fus réinjecté avec autant de gerbes sanglantes à l'allée. Nul doute que je devais être en piteux état. Le noir me submergeait totalement et pourtant, je pouvais me voir comme si je me trouvais sous un lampadaire. Pas d'ombre, du sang et les ténèbres environnants; un programme enivrant. J'eus l'occasion de me contempler dans le reflet d'une tâche d'hémoglobine. Mes yeux étaient extirpés de leurs orbites et un liquide noir impossible à identifier semblait se dégager de ma bouche aux lèvres bleutées. La joue gauche n'était plus qu'un sombre trou duquel s'écoulait également le fluide putride. Je devins hilare, peut être même fou. Nous sortîmes tous de la conférence dans un silence de mort. Je n'entendis plus jamais parler de ce jeu jusqu'à aujourd'hui, jour où je dicte ce message. Puisque la folie me tient, je vais vous faire l'honneur d'en savoir plus :

Mon nom est Ambremort, je vis à Paris et je suis aveugle. Je me suis crevé les yeux pour ne plus jamais revoir un tel spectacle de monstruosités. Comment j'ai pu taper ce texte ? En fait, Je n'ai fait que l'énoncer. Ce n'est pas moi qui l'ai noté, c'est eux … On ne se moque pas d'eux impunément !

Rappelez-vous en ! Vous aussi vous serez maudits à la lecture de cette histoire morbide ! Rappelez-vous en ! On se moque d'eux qu'une fois ! Aurez-vous

 

l'audace et la perfidie d'essayer d'attraper mon pompon de marin ? Ils sont tout autours de vous ! Oseriez-vous maintenant ?!

 

Il ya quelques années, lors de la recherche sur / x / ou des jeux pour Paranormal Creepy, je suis tombé sur un jeu Playstation japonaise obscure, appelée «LSD:. Rêve Emulator" Malgré le jeu libérant en nombre très limités, de nombreux sites avaient ROM disponible pour téléchargement.Naturellement, je l'ai téléchargé, converti, et commencé à jouer.

Malheureusement, l'ISO a été corrompu - ou mal déchiré - que je ne pouvais pas aller plus loin que l'écran de titre et, quand je l'ai fait, tout ce que je voyais était un gâchis de couleur et entendu un bruit de fuzzing étrange, comme statique radio. Je essayé re-télécharger les plusieurs fois ISO, essayer de différents sites Web, mais chacun était le même. Couleurs étranges, son statique floue. Je essayé de poster des questions sur divers sites de jeux, mais presque personne ne l'avais entendu parler du jeu et encore moins avais joué.Je appris que le jeu avait un véritable culte, à la fois ici et au Japon, et je finalement trouvé un petit groupe de fans de yahoo, dédié au jeu.

Je posté une question, demandant si quelqu'un avait réussi à obtenir le jeu de travail sur les émulateurs, et quelques jours plus tard, je recevais une réponse.

"Salut. Je faisais partie de membres du groupe déchirant qui a sorti le LSD rip. Nous avons réussi à déchirer avec succès le jeu, mais nous ne l'ai jamais réussi à le faire fonctionner sur des émulateurs, seul le matériel d'origine."

En ce point, je l'avais pratiquement abandonné sur elle. Je ne suis pas avoir une console Playstation, et ma durée d'attention était courte, et je avait depuis longtemps passé à d'autres choses, comme Eversion et Yume Nikki.

Puis, plus tôt cette année, le LSD a été libéré sur le Playstation Network japonais. Je me suis souvenu combien je l'avais essayé de jouer, même parcourant eBay quelques fois, dans le vague espoir qu'une copie pas cher surface.

Donc, je fis un compte, acheté une carte PSN JPN, et a acheté le jeu, et après le téléchargement et l'installation, je commencé à jouer il. Le logo Playstation est venu comme d'habitude, mais avec SCEI place, car il était un jeu japonais. Il n'y avait pas d'écran du droit d'auteur, mais ils avaient retiré de plusieurs autres jeux.

La vidéo d'intro a commencé à jouer après cela. Mots de couleurs différentes rebondi à travers l'écran, épelant «Lier la Sapient Dream" plusieurs fois (Apparemment, cela est ce que le LSD était pour).

Je pressai le bouton de cercle, et le jeu suis allé à l'écran titre. Il n'y avait pas d'écran "Press Start", il vient de passer directement à un écran avec 4 ou 5 options. Démarrer, Save, Load et Options.Above Démarrer, il y avait une ligne de texte, vous dire ce que vous étiez sur Jour. Il affiche un «JOUR 01"

Je choisis Démarrer.

Une chose que je l'avais appris dans le groupe Yahoo, était que la première journée a commencé toujours dans une maison japonaise, avec trois étages. Le contenu de la maison étaient aléatoires. L'ensemble du jeu a été joué dans une vue à la première personne.

Je marchais le long du couloir, je commencé à, et entré dans une bibliothèque, et l'écran fanée au blanc. Voilà la chose étrange à propos de ce jeu, vous pouvez interagir avec quoi que ce soit. Marcher dans tout ce que vous déplace vers une nouvelle zone, qui le jeu appelle «de liaison».

Le blanc disparu et je me trouvais dans un champ. Je ne pouvais pas voir très loin dans la distance, parce que chaque région avait du brouillard à quelques pieds en face de vous. Les graphismes sont aussi à la base, avec la plupart ayant pas de texture pour eux. Je marchais en avant, éventuellement heurter un arbre, qui m'a envoyé vers une autre zone.

Cette fois, les choses avaient obtenu un peu plus sinistre. Je trouvais dans une ville sombre, debout sur un quai de métal. Un bateau surgit dans le brouillard, sur l'eau, et de lampadaires allumé les rues. Je descendais dans la rue, et suis tombé sur les ruelles. Graffiti couvert certains des murs, étranges yeux multicolores regardant fixement moi. Puis je entendu un bruit et l'écran flashé rapidement. Je me suis retourné.

Juste derrière moi, un homme était apparu. Il portait un chapeau gris et un trench-coat longtemps. Il marchait lentement vers moi, presque glissant sur le sol.

Je essayé de marcher à reculons, de sortir, mais mon contrôleur ne répondais pas, et il me rapprochais.

Pour une fraction de seconde, deux points rouges fixèrent de sous son chapeau, puis l'écran flashé à nouveau.

Cette fois, je était de retour à la maison.

Quelque chose avait changé, cependant.

Les textures des murs, ont été remplacées par des images de la violence réelle. Les femmes violées, les enfants déchirés, cannibalisme, torture, un homme japonais briser ses propres doigts avec un marteau.

Comme je me suis déplacé à travers la maison, les images ont commencé lentement aggravation et la musique ont commencé distorsion et de ralentir. Le couloir était plus longue que ce qu'elle était avant et il devenait plus sombre.

Je savais ce qui était à la fin.

Il était.

Je me suis déplacé en avant, la bile montée dans ma gorge et luttant contre l'envie de vomir, que les images ont commencé à dégénérer en niveaux terribles de l'obscénité et de la violence. A quelques pas en avant, un homme enlever les jambes d'un jeune garçon. Un peu plus, une femme enceinte couper le fÅ“tus qu'elle porte sur. Plus loin encore, un gang d'hommes coupé une vache en morceaux, enveloppant les organes internes autour de leur corps. Plus près de la fin, les gens sont forcés de manger le cadavre d'un enfant, des vomissements comme ils mangent parties de lui.

Enfin, je suis arrivé à la fin du couloir.

L'écran fanée au noir et une ligne de texte apparaît sur l'écran.

http://oharaweb.weebly.com/lsdgmn.html

Je l'ai écrit la liaison descendante rapidement et quelques secondes plus tard, le jeu fanée au blanc nouveau, et retourné à l'écran titre.

Cette fois, l'état dit "Jour J 00"

Je essayé de choisir de recommencer, mais le jeu ne voudrais pas me laisser continuer. Je suis reparti la PS3, et le statut suis retourné à "une JOUR 01."

Avant je jouais encore, je essayé le lien. Il travaillait encore, et une page venu, rempli de l'écriture japonaise.Plus bas dans la page, il y avait une photo de l'homme gris, comme il est apparu normalement. Je ne peux pas lire le japonais, mais un de mes amis pouvaient.

Il a vécu au Japon pendant quelques années, afin qu'il puisse lire et parler couramment la langue. Je l'ai copié l'écriture vers le bas et l'ai appelé.

Après, il a montré, je passais les prochaines heures en lui disant ce qui était arrivé. De toute évidence, il ne me croyait pas. Qui serait?

Mais il reste convenu de jeter un oeil à l'écriture sur la page.

Malgré plusieurs tentatives, je ne pouvais pas obtenir la page Web à nouveau, alors je lui ai remis la copie que je l'avais fait.

Il regarda pendant quelques minutes et puis soudain devenu blanc. Il rendit à moi et assis sur le canapé.

Il ne dit rien pendant 5 minutes, puis il m'a dit ce qu'il a dit.

"Si vous lisez ceci, bien fait.

Vous avez vu l'homme tel qu'il est.

Ce qu'il a fait pour moi que je dormais, comme je l'ai

rêvé son cauchemar sombre. Vous avez

vu aussi. Ces images violentes

lui étaient. Il avait pas de forme, seule la

Dream Man. Il fait tout cela, ceux

événements dans les images, il a pris les

innocents et les possédait. Il leur fit

fais le. Il m'a fait faire ce jeu.

GRAYGRAYGRAYGRAYGRAYGRAY "Comme il a fini, il se leva, prit son manteau, et dit:« Quoi que vous voyiez dans ce jeu, ne me dis rien à ce sujet. "Puis il est parti.

La semaine prochaine, il est retourné au Japon. Je ne pouvais pas toucher une autre console après. Je l'ai détruit la PS3 et remplacé mon ordinateur.

Quelques semaines après son départ pour le Japon, je reçois un appel. Il avait tué une femme, alors suicidé.

La femme qu'il avait tué, Osamu Sato, était le lead designer sur le LSD.

(Si vous les gars se demandent, ce jeu fait existe, mais il est loin d'être aussi violent.)

Il ya quelques années, alors que je cherchais pour les jeux paranormaux ou effrayant, je suis tombé sur une origine japonaise, totalement sombre et fait pour Playstation appelé «LSD: Rêve Emulator". En dépit d'être lancé dans un nombre limité de copies, plusieurs sites offrent les éléments à télécharger. Ã‰videmment, je l'ai téléchargé, converti et a commencé à jouer.

 

Malheureusement, l'ISO a été corrompu - ou avait été arraché de mal - parce que je ne pouvais pas rien, mais l'écran de titre, et quand je l'ai fait autre chose que je voyais un mélange désordonné de couleurs et un son étrange, comme statique radio. Je essayé de re-télécharger les ISO à plusieurs reprises, en essayant différents sites, mais à chaque fois la même chose. Couleurs étranges, et le bruit confus statique. Je essayé de mettre à diverses questions sur les sites de jeux, mais presque personne ne l'avais entendu parler du jeu, et presque personne ne l'avais joué. Je découvris alors que le jeu avait un qui suit ici et au Japon, et après beaucoup de recherches, je trouve un groupe de fans sur Yahoo dédiée au jeu.    

           

Je posté une question, se demandant si quelqu'un avait donné un moyen de faire le travail de jeu sur émulateurs. Puis, quelques jours plus tard, je recevais une réponse.

 

"Bonjour. Je suis un membre d'un groupe qui a lancé le LSD lattes. Nous avons réussi à rip, mais jamais réussi à le faire fonctionner sur des émulateurs, seul le matériel d'origine."

 

De ce point, je l'avais presque abandonné. Je ne ai pas une console Playstation, et mon attachement pour quelque chose était court, et je l'avais déjà commencé à se concentrer sur d'autres choses telles que le retournement et Yume Nikki.

 

Donc, plus tôt cette année, le LSD a été libéré sur les Playstation Network japonais. Je me souvins alors combien je l'avais essayé de jouer, même cherché sur eBay à quelques reprises, dans le vague espoir de trouver une copie pas cher.

 

Je fis donc un compte, une carte JPN PSN et acheté le jeu. Une fois que vous téléchargez et installez, je commençais à jouer. Le logo de la Playstation semblait normal, mais avec SCEI ensemble, étant qu'il était un jeu japonais. Il n'y avait pas d'écran du droit d'auteur, mais ils avaient pris de plusieurs autres jeux.

La vidéo d'intro a commencé à courir après. Plusieurs mots différents et colorées sauté autour de l'écran, formant «Lier Sapient la Dream" (NT :. Tourner l'Omniscient rêve, en traduction libre) à plusieurs reprises (apparemment, cela était ce que cela signifiait LSD).

 

Je pressai le bouton de cercle, et le jeu suis allé à l'écran titre. Il n'y avait pas d'écran "Press Start", alla droit à un avec quatre options. Démarrer, enregistrer, charger et Options. Sous le Démarrer eu une altercation avec le texte, dites quel jour vous y étiez.Puis apparut "DIA 01"

Je pressai Démarrer.

 

 

 

Une chose que je l'avais appris de celle du groupe Yahoo, est le premier jour a commencé dans une maison japonaise avec trois étages. Le contenu de la maison était aléatoire.L'ensemble du jeu a été joué en vue à la première personne. 

 

Je marchais dans le couloir où je commencé, et je suis allé à une bibliothèque, lorsque l'écran a commencé à devenir blanc. La chose étrange à propos de ce jeu est que vous pouvez interagir avec quoi que ce soit. Marchez jusqu'à tout objet que vous envoie à un nouvel endroit, ce que le jeu appelle "Connect".

Blanc tut et je était dans un champ. Je ne voyais pas dans une très grande distance, puisque la plupart de la région était un épais brouillard. Les graphiques sont très simples, presque pas de texture ayant sur eux. Je marchais, éventuellement frapper un arbre, qui m'a envoyé à un autre endroit.

 

Maintenant, les choses sont devenues plus sinistre. Je trouvais dans une ville sombre, au-dessus d'un quai de métal. Un bateau est apparu de la brume sur l'eau, et des lampadaires illuminé les rues. Je marchais sur la route et suis tombé sur plusieurs rues. Graffiti couvert certains murs, des étrangers multicolores en me regardant. Puis je entendu un bruit et l'écran cligné des yeux rapidement. Je reviendrai.

Derrière moi, il y avait un homme. Il portait un chapeau gris et un long manteau. Il est venu en marchant lentement vers moi, presque comme si de glisser sur le sol.

Je essayé de rentrer à pied à détourner, mais mon contrôle ne répondais pas. Et il se rapprochait de plus en plus.

 

Pour une fraction de seconde, deux points rouges sont apparus sous son chapeau, puis l'écran flashé à nouveau.

Cette fois, je était de retour à la maison.

Cependant, quelque chose avait changé.

 

La texture des murs étaient pas la même chose, ils avaient été convertis en images réelles violents. Les femmes violées, les enfants déchirés, cannibalisme, un Japonais de concassage ses doigts avec un marteau.

 

 

 

Comme je l'ai déménagé dans la maison, les images étaient pires, et la musique était déformée et en diminuant lentement. Le couloir était plus qu'avant, et il faisait sombre.

Je savais ce qui était dans le couloir.

 

Il était.

 

Je suis passé, l'acide de l'estomac dans la gorge combats vomi soif, donc des photos venu jusqu'à des niveaux extrêmes de l'obscénité et de la violence. A quelques pas en avant, un homme écartant les jambes d'un petit garçon. Un peu plus, une femme enceinte de traction et de couper votre propre fÅ“tus. Un peu plus loin, un groupe d'hommes coupé une vache en morceaux, impliquant les organes internes dans leur corps. Vers la fin, les gens étant forcés de manger des morceaux de cadavre pour enfants, de vomir tout en mangeant.

 

 

 

Enfin, je suis arrivé à l'hôtel.

L'écran est devenu noir et une ligne de texte est apparu. 

 

http://www.oharaweb.jp/LSD/GMN.html

 

Je l'ai écrit le lien rapidement et quelques secondes plus tard, l'écran autorisé à retourner le titre.

A ce moment, l'état marqué  "D Day 00"

 

Je essayé de choisir à nouveau le départ, mais le jeu ne voudrais pas me laisser continuer.Je redémarré mon PS3, et le statut retourné à "01 DIA".

 

Avant de jouer à nouveau, je essayé le lien. Néanmoins, il a travaillé, et la page apparaissait, tous écrits en japonais. Plus bas dans la page, il y avait une image de l'homme gris, qu'il était apparu. Je ne peux pas lire le japonais, mais un de mes amis savaient. Il a vécu au Japon pendant quelques années, afin qu'il puisse lire et parler couramment la langue. Je l'ai copié les écrits et l'ai appelé à ma maison.

 

Après il est venu, je passais la prochaine heure pour lui expliquer ce qui était arrivé. De toute évidence, il ne me croyait pas. Qui serait? Mais il a accepté de prendre un regard sur les écrits de la page.

 

Après plusieurs tentatives, je ne pouvais pas faire la page apparaît à nouveau, alors je lui ai donné la copie que je l'avais fait. 

 

Il avait l'air pendant quelques minutes pour copier puis pâlit. Il est revenu à moi et assis sur le canapé.

Il ne parlait pas dans les 5 prochaines minutes, puis il m'a dit ce qu'il a dit.

 

"Si vous lisez ceci, bien.

Avez-vous vu l'homme tel qu'il est.

Ce qu'il a fait pour moi pendant que je dormais, alors que je

rêvé son cauchemar sombre, vous aussi

Il les voyait. Ces images violentes

lui. Il n'a pas de forme, seule la

homme de rêves. Il fit tout cela, ceux-ci

innocent, et possessif. Il leur fit faire

cela. Il m'a fait faire ce jeu.

CINZACINZACINZACINZACINZACINZA "

 

Une fois que mon ami avait fini, il se leva, prit son manteau, et dit: «Quoi que vous voyiez ce jeu, ne me dites pas quoi que ce soit." Puis il est parti.

 

La semaine suivante, il est retourné au Japon. Je ne pouvais pas jouer à ce jeu à nouveau, parce que je suis un peu peur. Quelques semaines après mon ami aller au Japon, je reçu un appel: il avait tué un homme, avant de se suicider.

 

L'homme qu'il avait tué était Osamu Sato, qui était le principal concepteur du LSD.

 

 

 

 

(Et oui, ce jeu existe vraiment)

 

mais celui qui aurait ensuite  fait la rubrique cauchemar serait ......VIRé !!!...............

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